Limiter la prévention Covid, c’était se pénaliser collectivement !

Depuis le 1er trimestre, l’équipe CFE-CGC APRR est active comme jamais et vous devez le constater ou en entendre parler autour de vous.

Nous avons une préoccupation majeure qu’est LA PREVENTION contre la Covid-19 et un regret majeur qu’est LE REJET DU TELETRAVAIL DE CRISE SUR VOLONTARIAT (le vôtre). Malgré notre présence chaque semaine, nos discussions avec la Direction, nos propositions parfois 2 fois par semaine, nos alertes… rien n’y a fait !

C’est factuel, les mesures (masques, gel, affichage, circuits dans les locaux, référents Covid…) sont portées et appliquées par nos collègues de la prévention et des services généraux, mais CELA NE SUFFISAIT PAS sans un télétravail de crise appliqué judicieusement.

Effectivement le verbe est au passé car les nouvelles mesures annoncées hier (le 28 octobre), amplifient vos appels téléphoniques, vos mails, vos interrogations. Vous êtes de plus en plus nombreux à nous solliciter. Ce qui contribue (il n’y a pas que cela bien sûr) à la situation périlleuse sur le plan humain, social et économique qui se résume dans les déclarations effectuées par vos élu(e)s CFE-CGC au sein des 4 établissements d’APRR :

Avec moins de 5 % des effectifs APRR en télétravail de crise, contre 30 % des salariés français en septembre sur au moins 2 jours, la volonté de ne pas développer ce mode de prévention est factuel.

Cette protection sanitaire complémentaire reste non débriefée (exit le 21 septembre), mais génératrice de notes consécutives (12 et 21 octobre). La pandémie progresse et arrive chez APRR avec des clusters.

Peu importe que la Covid provienne de l’extérieur, les mesures internes ont leurs limites : comment pourrait-elle rester à nos portes avec l’évolution constante depuis l’été ?

Avec la note du 21 octobre, CFE-CGC constate :

  1. L’évitement récurrent du télétravail de crise avec une « incitation » des plus timides et surtout tellement tardive malgré nos demandes incessantes depuis des mois,
  2. Que la position d’entreprise reconnue par le magazine Capital l’est pour son innovation sociale et que nous regrettons que ce ne soit pas le cas pour le télétravail de crise (sous volontariat) dont on a raté l’opportunité sanitaire depuis des mois.

Toutes nos suggestions formulées depuis le 1er jour de la crise sont restées vaines et les réponses conduisent aux nouvelles mesures gouvernementales très difficiles pour les citoyens et… pour l’économie !

Que dire d’autre maintenant ?