Vous avez dit rentrée ?

Nous y sommes progressivement et nous travaillons sur ces dossiers :

  • Pouvoir d’achat => accélération du travail intersyndical initié lors de la NAO de début 2022. NA0 réussie, mais totalement dépassée avec l’inflation. Chacun perd alors que le trafic d’été et les marges s’envolent. Les besoins sont conséquent et nous vous tiendrons informés,
  • Loi pouvoir d’achat => le président de la CFE-CGC a communiqué, notamment sur le rachat non souhaitable des RTT. Nous sommes ici sur un point bloquant s’il venait à s’affirmer chez APRR,
  • Retraites => Nous verrons lorsque le débat viendra à l’Assemblée. Là encore, notre président (François Hommeril) a été très pédagogique sur le fait que nous avons accompagné les précédentes réformes, mais pas celle-ci qui concernerait l’âge de départ. A suivre !
  • Prise en compte des problématiques liées au déploiement accéléré des voitures électriques pool, VSA et maintenant fonction. Bientôt 2 ans de suggestions CFE-CGC, de questions en suspens en sans éclairage à vos élu(e)s sur la prise en compte du rechargement au domicile, l’avantage en nature, l’organisation autour… Ce sujet, ajouté aux autres, cristallise notre attention pour votre vie au travail et la continuité des avantages acquis dans le passé.

Par ailleurs, nous avons le regret de voir que, comme au pilotage de l’ASFA, la section CFE-CGC autoroutes sera uniquement Vinci au conseil syndical national (C.S.N.) du BTP, instance ayant vote sur les décisions BTP. Jusqu’alors, les concessions Eiffage avaient un membre. Au terme d’un vote étonnant, la seconde entreprise de concessions autoroutières en France sera « représentée » dans l’instance décisionnelle de CFE-CGC BTP par 1 Sanef (président section autoroutes), 1 délégué autoroutes (Vinci), 2 membres autoroutes (Vinci) contre 0 Eiffage. A toute décision de mauvais sens, malheur est bon : nous retrouvons du temps pour nous occuper d’APRR, donc de VOUS !

Vote du 23 août, après celui du 2 août que nous avons fait annuler car Dominique Prévost -président de la section autoroutes- avait utilisé 3 mandats alors que les statuts n’en prévoyaient que 2.