TELETRAVAIL « Covid »
Juste avant les dernières annonces du Gouvernement, CFE-CGC APRR avait adressé un courrier à la Direction avec ces objectifs : 3 jours de télétravail par semaine, limitation des jauges en formation et lieux de convivialité, mise en veille du physique pour repasser en distanciel. Globalement, c’est ce qui apparait dans la dernière note APRR, au bémol du nombre de jours de télétravail qui est de 2 jours.
ACCORD D’ENTREPRISE EIFFAGE SUR LE TELETRAVAIL – TRAVAIL A DISTANCE
La dernière séance de négociation était en début de mois et a permis des avancées qu’il faut souligner tant l’accord précédent était à des années lumières des mentalités d’aujourd’hui. Le point qui a stoppé la négociation concerne le volume du pack, soit 66 jours. Que dire ? Eiffage est plurielle, des métiers et des contextes tellement hétérogènes qu’il faudrait X accords d’entreprise… mais il n’y en aura qu’un seul.
Nous pensons que l’on pourrait commencer ainsi moyennant un retour d’expérience dans 1 an et non 3, avec une clause permettant un élargissement fonction de l’expérience. Après, CFE-CGC APRR n’est pas seule, il y a d’abord CFE-CGC EIFFAGE avec des collègues de différentes branches, différents univers, dont certains seraient sur notre vision et d’autres veulent 3 jours sous forme de pack. Ensuite, il y a CGT, CFDT, FO qui, pour 2 d’entre-eux, attendent 3 jours fermement, voire quelques clauses complémentaires. Soyons-clairs :
. On dit « OK » pour la dernière rédaction… 50 % d’entre-vous seront mécontents en voulant plus de 2 jours,
. On dit « NON » et 50 % diront qu’il fallait dire « OK ».
On n’est pas que chez APRR, donc notre avis pèse, mais n’est pas majoritaire et ici, 3 organisations syndicales doivent signer pour obtenir un accord majoritaire. La « route » parait assez longue, mais nous restons force de proposition.
REORGANISATION DIPE – DICODEV
CFE-CGC APRR a rendu un avis positif au dernier CSE-C. Si nous pensons que globalement ce projet est cohérent, nous avons précisé qu’une attention particulière devait être de mise sur :
- Le travail en silo de certaines entités ;
- La nouvelle définition du rôle de l’ex-entité ingénierie et maîtrise d’œuvre ;
- L’éloignement perçu entre l’AMO et la maîtrise d’ouvrage ;
- L’objectivation du suivi de la charge.
De façon individuelle, certains collègues sont déçus ou se sentent incompris par le positionnement projeté. Nous ferons en sorte de les accompagner, s’ils nous en font la demande, et s’ils n’ont pas abordé le sujet directement avec la Direction.